Le sevrage, est une étape souvent délicate dans le vie d'une maman, le sevrage n'est pas
souvent désiré, et la maman se retrouve dans un état de déprime car voulait continuer l'allaitement.
Régulièrement, ces mamans se retrouvent avec un sevrage non désiré, cela peut être dus à la reprise du travail, à une mauvaise prise de poids de bébé, ou encore l'influence de l'entourage car l'allaitement perdure, ou encore bébé tète beaucoup trop, etc... Les raisons ne manquent pas pour commencer un sevrage.
La mère est persuadée qu'elle n'a pas d'autre solution, et que
le sevrage est inéluctable qu'aucun autre moyen n'est possible,
c'est une erreur.
Souvent mal conseillées, elles se lancent dans un sevrage dont souvent, elles regrettent.
Voici différent types de sevrages que se soit désiré ou non Avant tout sachez qu'il n'y a pas de date butoir lors d'un allaitement comme on peut nous l'indiquer lors des visites chez le pédiatre, cela a été mon cas, ma pédiatre avait décidé de sevrer Lyam à ses trois mois sans raison particulière, juste parce que c'est ainsi et pas autrement, et qu'elle l'avait dit, biensur comme tous jeunes parents, j'ai suivi son conseil, et commencé à donner du lait infantile à mon fils qui grâce au ciel, m'a fait une belle réaction allergique
. Elle a voulu continuer à sevrer mon fils, en m'indiquant d'autres laits, étant mauvaise élève, j'ai choisi de continuer d'allaiter sans prise de tête, et j'ai donc allaité jusqu’à ses deux ans.
Quoiqu'il en soit, ne sevrer surtout pas sous influence, qu'il soit médical, ou encore proche, il existe des moyens pour continuer d'allaiter en contournant les problèmes (si problèmes).Il existe différent cas de figures pour le sevrage.
Une maman peut vouloir sevrer la nuit, ou encore pour reprendre le travail quand elle ne peut pas tirer son lait, elle peut continuer d'allaiter sans aucun souci, on appelle cela
un sevrage partiel.
On pourra adapter la lactation, stimulation lorsqu'on veut que le bébé tète, et non stimulation, quand on veut éviter que bébé tète afin d'éviter les montées indésirables, pour que les seins s'adaptent à la demande.
Attention : ce procéder peut mettre un certains temps à se mettre en place, et les fuites et douleurs peuvent survenir, le temps que la demande soit prise en compte.
Il peut arriver qu'une maman se retrouve dans l’incapacité de continuer à allaiter pour une urgence médicale, opération d'urgence, ou traitement non compatible avec l'allaitement,
le sevrage sera alors temporaire, la maman continuera d'entretenir sa lactation et pourra reprendre son allaitement une fois le problème résolue, souvent les bébés reprennent le sein mais dans d'autres cas, ils s'y refusent, on peut alors soit travailler dessus (si la maman en a envie) ou alors continuer d'allaiter mais via le tire lait pour faire bénéficier bébé du lait de sa mère et si la mère le souhaite entreprendre un sevrage progressif.
Souvent la grève de tétée ne dure pas, avec de la patience, bébé peut reprendre le sein même plusieurs mois après.
Biensur,
certaines mamans veulent sevrer car cela est leur souhait, pour cela on fera
un sevrage progressif,
un sevrage brutal aura des effets négatifs sur l'esthétisme des seins et peut également 'traumatiser' juniorLe sevrage progressif reste le meilleur moyen d'épargner les seins, mais aussi d'éviter tous risques, telle que mastite, engorgement, et autres désagréments, et
surtout de ne prendre aucun traitement pour tarir la sourcePour mettre un sevrage progressif en route (donc total), il faudra commencer par
supprimer une tétée, cela peut prendre quelques jours, voir plus selon l'allaitement de la maman.
Chaque allaitement étant différent, il est logique d'avoir des sevrages différents. Il faudra donc continuer, après quelques jours, vous supprimez une deuxième tétée, si la suppression est trop difficile (engorgement etc...), il faudra attendre encore un peu, le tout étant de supprimer des tétées dans la mesure du supportable.
Petit à petit, le sevrage s'enclenchera.
Seule la maman sera quand supprimer une tétée supplémentaire.
Sachez que le cerveau enregistre les demandes, l'avantage avec l'allaitement c'est que l'on peut faire ce que l'on veut, augmenter, diminuer, supprimer. Mais il faut du temps,
une adaptation entre la demande et l'offre. Les tétées les plus importantes seront plus difficiles à supprimer, et seront attaquées en dernier, il faudra respecter un délais entre chaque suppression sinon vous risquez de 'douiller' si je puis dire.
Si la maman
veut faire un sevrage brutal cela est possible mais
risque d’abîmer ses seins et aura biensur mal avec la possibilité de complications.
On peut éventuellement
diminuer la lactation avec certains aliments anti galactogène comme le persil, la menthe, la sauge, le jasmin.
Lorsqu'il y a des engorgements lors du sevrage, il sera alors intéressant de mettre du persil (bio de préférence et lavé) dans son soutien gorge, afin de calmer les tensions, le choux peut être un allié également,
surtout ne stimuler pas les seins, cela ne fera qu'accentuer le problème, vous pouvez vous soulager sous la douche laissant le jet d'eau chaude sur vos seins pour calmer ce dernier (il se peut que vous ayez du lait qui coule, n'y touchez pas et laissez faire la nature).
Si vous êtes dans une situation difficile comme décrite au dessus, c'est que votre sevrage a été trop rapide.Vous pouvez consulter un homéopathe qui pourra vous donner des remèdes spécifiques à votre sevrage,
surtout ne faite pas d'automédication, l'homéopathie peut être traite, et un remède peut avoir l'effet inverse
Si le médecin vous prescrit des médicaments
attention dangerIls ne
servent strictement à rien, dans de nombreux pays,
ces médicaments sont interdit! De plus leurs effets secondaires sont important et souvent sans effets.
Une fois le sevrage terminé, vous pouvez ressentir encore des petites tensions (lorsqu'un bébé pleure, ou que votre enfant vous touche la poitrine, etc...) vous pouvez également avoir des écoulements,
pas de panique, la source ne se tarie pas du jour au lendemain comme on peut nous le faire croire, cela peut mettre plusieurs mois avant de ne plus avoir de lait.
Arween